L’île au vent et à l’oubli
La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, seulement brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté bouille à la lanterne, creusant le moindre frémissement de vie. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de mentalité et de brume qui se mêlaient à la pénombre.